dimanche 25 décembre 2011
dimanche 11 décembre 2011
La lumière de Bethléem de la gare d'Angoulême à l'église Saint-Martial
Depuis 20 ans, le troisième samedi de l'Avent, tous les mouvements de scoutisme se retrouvent à Vienne (Autriche) pour accueillir la lumière de Bethléem et la diffuser dans toute l'Europe. Cette année, une délégation de louveteaux-jeannettes (8 à 11 ans) était au rendez-vous du 10 décembre 2011.
« Ce n'est qu'une petite lumière, une flamme fragile, mais elle nous invite à accueillir la paix de Dieu en ce temps qui prépare à Noël », écrit le Père Jean-Stanislas Pupin, aumônier des Scouts et Guides de France dans le diocèse de Bayeux et Lisieux.
Allumée en Terre Sainte, transmise au cours d'une célébration œcuménique le 10 décembre 2011 à Vienne (Autriche) - sur le thème « Le peuple qui marchait dans les ténèbres voit une grande lumière (Isaïe 9, 1-2) » - la lumière de Bethléem est arrivée à Paris dimanche 11 décembre. Les Scouts et Guides de France avec les Eclaireurs et Eclaireuses unionistes de France l'ont transmis à leur tour aux délégations venues de toute la France lors d'une cérémonie œcuménique à l'église St-Merri.
Puis elle s'est répandue progressivement dans les diocèses. Elle est arrivée à 16h30, le 11 décembre à la gare d'Angoulême. Un groupe de chrétien de tous âges l'a ensuite emmenée jusque l'église Saint-Martial pour une prière simple, belle et recueillie, présidée par notre évêque. Un vrai moment de grâces.
samedi 3 décembre 2011
Odile, première "laïque associée" à la fraternité
Des personnes associées à la fraternité trinitaire d’Angoulême :
En 1193, Saint Jean de Matha a reçu un appel à glorifier la Trinité et à libérer les captifs.
Dans le cadre de la famille trinitaire, une petite fraternité a vu le jour en septembre 2010 à Angoulême. Elle est composée d’un prêtre trinitaire, d’une communauté de religieuses trinitaires de Valence et de laïcs, qui à l’appel de l’Evêque d'Angoulême, veulent vivre à l’Eglise Saint Martial une présence priante et aimante.
Des laïcs, des prêtres souhaitent être associés à la fraternité trinitaire d’Angoulême sans en être membre.
Il leur est proposé d’être en communion avec la fraternité par des temps de vivre ensemble (temps de vie liturgique, partage d’activités, partage de repas, séjour à Angoulême,etc….).
Ce vivre ensemble ayant pour cœur une vie de contemplation simple et aimante de la Trinité. Cette contemplation de Dieu Trinité nous guérit et nous libère.
Elle nous invite aussi à être des témoins de l’œuvre de libération que Dieu désire opérer partout où nous vivons (vie familiale, professionnelle, réseau social).
Les membres de la fraternité trinitaire d’Angoulême et ceux qui y sont associés se portent mutuellement dans la louange et l’intercession.
Dans la mesure du possible, les personnes associées auront à cœur de participer à l’une ou l’autre célébration importante aux cours de l’année :
- Fête de la Trinité (en juin)
- Fête de Notre Dame du bon remède (8 octobre)
- Fête de Jésus Rédempteur (23 octobre)
- Saint Félix de Valois (4 novembre)
- Saint Jean de Matha (8 février)
Le chemin qui aboutit à devenir une personne associée à la fraternité trinitaire d’Angoulême se fait en lien avec le conseil de la dite fraternité.
« …..Ils rompaient le pain à domicile prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur.
Ils louaient Dieu et trouvaient un accueil favorable auprès du peuple tout entier.
Et le Seigneur adjoignait chaque jour à la communauté ceux qui trouvaient le salut……. »
Acte 2, 46-47
Installation d'une crèche aussi discrète que belle, en ombres chinoises !
Histoire de la Crèche de Noël:
Saint François d'Assise invente la crèche de Noël !
Nous sommes en 1223 et François se trouvait à Greccio, une ville de l'Italie.
Il dit à l'un de ses amis, qui avait mis à la disposition des frères une grotte dans la montagne:
"Je veux célébrer Noël avec toi, cette année, dans la grotte. Tu y installeras une mangeoire pleine de foin. Fais venir un bœuf et un âne. Il faut que cela ressemble à la crèche où est né Jésus".
Et tous les habitants de la ville vinrent entourer les frères et assister à la Messe de Minuit. Ils étaient si nombreux, avec leurs cierges et leurs lanternes, que le bois était éclairé comme en plein jour.
La Messe fut dite au-dessus de la mangeoire qui servait d'autel.
Une présence qui se veut simple et fraternelle
À Angoulême, la maison Béthanie propose un accueil le dimanche après-midi pour rompre la solitude. Ouvert à tous, c’est un lieu convivial où les échanges se créent, de façon simple et informelle, autour d’un café, d’un dialogue ou d’un jeu. Dix mois après son ouverture, la fraternité trinitaire et les paroissiens font un premier bilan.
"Pour les gens qui sont seuls, c’est un point de repère », résume simplement Isabelle en parlant de l’accueil du dimanche à la maison Bethanie. Comme une quinzaine de personnes, elle a assuré des permanences dominicales dans la salle derrière l’église Saint-Martial d’Angoulême. Elle a échangé un sourire, un café, une parole, avec des publics très différents. Elle a été une présence d’amour comme invite le charisme de la fraternité Trinitaire qui rayonne sur cette paroisse du centre-ville.
Tous les dimanches, sans interruption, de 15 heures à 17 h 30, l’accueil était assuré par les religieuses trinitaires, des laïcs associés ou des paroissiens.
Un lieu qui se personnalise
En dix mois, un petit noyau d’habitués s’est naturellement constitué. Ils sont une vingtaine de personnes à venir régulièrement. « Pendant l’été, il y a souvent eu une quinzaine de personnes le dimanche », estime Julien.
Dans la grande salle, chacun trouve naturellement une place, autour de la grande table de salle à manger, ou sur le divan du coin salon. « L’accueil se fait de façon informelle, raconte Gilles. Des fois, on va se lancer dans un jeu, des groupes se forment, un dynamisme émerge, les gens se rencontrent, s’écoutent. »
« Il y a différents types de personnes qui viennent, précise Laurent. Certains viennent pour parler, d’autres pour écouter, d’autres pour un petit goûter... » « Les gens se sentent de plus en plus chez eux, ajoute Sœur Marie-Paule. Il y en a qui s’occupe du café, l’autre fait la vaisselle, certain apporte une boisson, une tarte ou un gâteau. C’est un lieu qui se personnalise ».
Tous s’accordent à saluer la richesse de ce temps partagé. « On dit que le dimanche, c’est en famille. Se retrouver seul ce jour-là, ça peut être assez difficile à vivre. Ici, on peut sortir de son isolement », indique Isabelle. « La rencontre avec des personnes est très intéressante. Même pour nous, ça nous apporte », note sœur Marie-Germaine.
En lien avec les autres acteurs sociaux
L’accueil de tous les publics n’est pas toujours chose facile. À côté des nombreux aspects positifs, les bénévoles ont fait remonter aussi quelques difficultés. « On a été quelque fois dépourvu par certaines personnes. On craint qu’elles ne se soient éloignées du groupe à cause de cela », rapporte sœur Marie-Paule. « Comment gérer l’agressivité? »
Les questions de relecture et de la formation s’imposent d’elles-mêmes dans la discussion. Invité par le père Denis Trinez, François de Solan témoigne de ce qui est mis en place à La Colombière. « Tous les mois, nous avons une réunion. Et tous les deux mois, un médiateur nous aide. Cela permet d’uniformiser les attitudes des accueillants », indique le président. À un pâté de maisons de la maison Bethanie, le café associatif est également ouvert le dimanche. C’est un accueil non confessionnel. « Je pense qu’on se complète bien », estime François de Solan.
« Le dimanche, c’est le jour de plus grande solitude, c’est vraiment formidable d’avoir des lieux d’accueil », souligne Martine Berrier du Secours catholique qui voit là une belle complémentarité avec le travail des équipes en semaine.
L’élan est donné, des bénévoles fidèles se relaient, reste à faire savoir aux personnes souffrant de solitude qu’ils sont les bienvenus. Pour le père Denis Trinez, l’enjeu est là. « Il y a un noyau stable, mais il ne faut pas se refermer sur soi, il est important de rester ouvert aux autres ».
Laétitia Thomas.
"Le courrier Français"
dimanche 27 novembre 2011
Chez les soeurs de Saint-Yrieix, un chaleureux moment de doyenné, dans une récollection sur la joie d'annoncer ensemble la Bonne Nouvelle !
Quelques petits et beaucoup de grands ont apprécié de se retrouver pour ce moment de partage riche et fraternel en doyenné.
Trois temps :
Un temps spirituel et nourrissant le matin, à partir de la lettre du pape sur l'année de la foi, et de la lettre pastorale de notre évêque, suivi d'un beau temps de lectio divina en petits groupes.
A midi, un repas partagé fort convivial.
L'aprés-midi, Un temps de présentation et d'échanges autour d'un nouveau projet d'évangélisation.
Notre journée qui avait commencé par un beau temps de prière le matin, s'est achevée avec les Premières Vêpres de l'Avent avec les soeurs du Bon Pasteur qui nous accueillaient.
dimanche 20 novembre 2011
Réunion des bergers des groupes de prière charismatiques du diocése d'Angoulême
Le Renouveau, appelé communément charismatique en raison des dons charismatiques qui s’y manifestent, n’est pas tant une organisation de plus dans l’Église (à côté de multiples autres organisations, ou mouvements spécialisés), que la manifestation puissante d’une grâce de Pentecôte offerte à toute l’Église.
La dynamique missionnaire
Les groupes du Renouveau, assemblées de prière et communautés nouvelles, rendent particulièrement visible, et donc efficace, la recommandation du Christ : « C’est à l’amour que vous aurez les uns pour les autres qu’on vous reconnaîtra pour mes disciples » (Jn 13,35), concrétisant ainsi sa prière : « Que tous soient un (…) afin que le monde croie ». (Jn 17,21)
« Il est urgent que les chrétiens redécouvrent la nouveauté de leur foi et la force qu’elle donne au jugement par rapport à la culture dominante et envahissante.
Il faut retrouver et présenter à nouveau le vrai visage de la foi chrétienne qui n’est pas seulement un ensemble de propositions à accueillir et à ratifier par l’intelligence. Au contraire, c’est une connaissance et une expérience du Christ, une mémoire vivante de ses commandements, une vérité à vivre.
La foi est une décision qui engage toute l’existence. Elle est une rencontre, un dialogue, une communion d’amour et de vie du croyant avec Jésus-Christ, Chemin, Vérité et Vie (Jn 14,6). Elle implique un acte de confiance et d’abandon au Christ, et elle nous permet de vivre comme il a vécu (Ga 2,20), c’est-à-dire dans le plus grand amour de Dieu et de nos frères. (dans l'encyclique "La splendeur de la Vérité ")
Extrait du livre de François-Régis Wilhelem
"Le temps des discernements"
mardi 1 novembre 2011
Petites et grandes lumières sur notre chemin : Nos soeurs et nos frères les saints !
La Toussaint nous invite à fêter les saints. Mais qu'est ce qu'un saint ? Comment le devenir ? Faut-il faire des miracles, avoir des visions, entendre des voix ? Faut-il une reconnaissance officielle, être canonisé en grande pompe ? L'Eglise nous invite à voir dans la sainteté un chemin pour tous. Un saint n'est pas un étranger lointain ! Ce n'est ni un héros ni un modèle de vertu. C'est un frère ou une soeur qui nous a précédé dans la foi et reste attentif à notre vie. Le saint est un exemple vivant de ce qui est possible pour chacun d'entre nous : à la suite de Jésus, faire de notre vie, une vie sainte.Pour devenir saint, il n'y a pas 36 000 chemins : il suffit de répondre pleinement à l'amour de Dieu en vivant l'Evangile. C'est-à-dire en aimant, à notre tour, les autres. En ce sens, les saints sont réellement des modèles pour les chrétiens. Non dans l'imitation de leur vie, mais dans l'imitation de la liberté avec laquelle ils ont marché avec Jésus-Christ. L'un aura pu donner sa vie dans le martyr, un autre fonder d'un ordre, un autre vouer son existence aux pauvres, un autre encore être tout simplement portier dans une école ...Les saints sont auprès de Dieu. Ils sont vivants. C'est le sens de notre fête aujourd'hui. Les saints n'ont pas abandonné la solidarité humaine. " Je passerai mon ciel à faire du bien sur la terre.. "affirmait Thérèse de Lisieux.
jeudi 27 octobre 2011
Retour à Dieu de notre ami le Père Deguillaume, aumônier des soeurs de la rue de Turenne
Jean Deguillaume, né en 1920 et ordonné prêtre en 1944, fit partie des tous premiers prêtres de la mission de France. Malgré le poids de l'âge et de la maladie, il exerça son ministère avec passion et jusqu'au bout de ses forces. Pour tous ceux qui l'ont connu il est vraiment un grand témoin de la fidélité de Dieu au coeur d'une vie toute donnée.
samedi 22 octobre 2011
Annoncer la Bonne Nouvelle à Angoulême : Les premiers pas d'un beau projet
L'idée : en octobre 2012, commencer sur Angoulême un parcours d'évangélisation qui comprendra les éléments suivants :
.un dîner à l’ambiance conviviale et informelle.
.un exposé pour réfléchir ensemble sur toutes ces questions que chacun se pose souvent seul, au sujet de Dieu ou du sens de la vie.
.des groupes d’échanges au sein desquels on peut librement partager ses interrogations sur la religion, dans le respect de chacun.
.des temps de dialogue ouverts à tous, sans limite d’âge, que l’on soit croyant ou pas, de confession chrétienne ou pas, pratiquant ou pas.
.un lieu de rencontre où l’on peut inviter ses amis mais aussi lier de nouvelles connaissances.
.des bénévoles laïcs qui animent les dîners et font découvrir (ou redécouvrir) l’Eglise, loin des images d’Epinal.
.un repas par semaine, pendant 10 semaines, ainsi qu’un week-end proposé en milieu de parcours.
mercredi 19 octobre 2011
Dimanche 16 octobre, rassemblement diocésain "Audace 2011"
INITIATION, FRATERNITÉ, AUDACE
extraits de la lettre de Monseigneur Claude DAGENS
"Chers amis,
Cette lettre est pour vous, qui avez participé à notre rassemblement du dimanche 16 octobre. Mais, au-delà de ce rassemblement, elle s’adresse à vous tous qui, d’une manière visible ou cachée, participez à la vie et à la mission ordinaires de l’Église. À vous aussi qui n’avez pas de responsabilités particulières, mais qui comprenez notre responsabilité commune : être des signes de la charité du Christ dans un monde incertain(...)
Nous voulons pratiquer la fraternité chrétienne et l’audace de la foi. Oui, l’audace de croire et d’espérer que Dieu travaille en notre monde et que nous sommes ses témoins, humbles, mais résolus. Témoins de l’engagement de Jésus qui, au cours d’un dernier repas, a lavé les pieds de ses disciples et leur a confié un commandement nouveau, radicalement nouveau : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jean 15,12).
Pas d’initiation chrétienne possible, ni d’audace de la foi en dehors de cela qui est le cœur de la Révélation chrétienne de Dieu. Ne soyons donc pas obsédés par les difficultés de l’annonce de l’Évangile ou par la pauvreté de nos moyens ! Soyons prêts à puiser à la source, qui est là, dans la personne et la Pâque de Jésus, dans cette charité du Christ qui nous dépasse infiniment et qui veut passer par nous ! (...)
Si vous avez participé à la messe du 16 octobre, dans notre cathédrale, vous avez sans doute entendu et retenu la proclamation de l’Évangile : c’était le récit de ce geste accompli par Jésus, à la veille de sa passion et de sa mort. Il s’est agenouillé aux pieds de ses disciples et il les a lavés (cf. Jean 13,1-20).
Les gestes parlent autant que les paroles. Le geste fraternel du lavement des pieds parle autant que les paroles qui vont, le même soir, instituer pour toujours le sacrement de l’Eucharistie : « Mon corps livré pour vous, Mon sang versé pour vous ».
C’est le même Jésus qui a pris dans ses mains les pieds de ses disciples et qui, ensuite, avec ces mêmes mains, rompra le pain et fera circuler la coupe de vin. Tout est dit alors du mystère et du don de Dieu quand il se livre à nous, pour toujours, pour chaque jour, avec son corps et son sang.
Et il se livre à la violence des hommes, en acceptant d’être renié et trahi, pour que nous soyons associés à ses gestes, si nous l’acceptons. Nous voilà embarqués avec lui dans ce travail d’initiation, qui passe aussi bien par les actes fraternels d’accueil, de service, de solidarité et de don, que par la participation au sacrement de l’Eucharistie.
S’il existe un lien profond entre l’initiation chrétienne et la fraternité chrétienne, il est là, dans le don de Jésus « qui passe de ce monde à son Père en aimant les siens jusqu’au bout » (Jean 13,1).
Permettez-moi une dernière audace : s’il y a des catholiques réellement présents dans notre société incertaine, c’est là qu’ils puisent leur force ! S’il y a un réel dynamisme de l’Évangile dans nos communautés, c’est là qu’il a sa source ! Je le crois, je le vois, j’en suis sûr : je vois que notre Église devient le Corps du Christ lorsqu’elle vit de la charité du Christ et qu’elle en vit, dans ses membres, qui sont tous des pécheurs, en croisant sans cesse ces deux actes vitaux : la pratique onéreuse de la fraternité et la participation également onéreuse à l’Eucharistie !
Mais ce qui est onéreux, ce qui a son poids de vérité et d’exigence, nous ouvre à la joie de croire en Dieu. Ce n’est pas un chemin de facilité, mais c’est un chemin simple : comme pour cet homme étonnant que nous avons fêté au début de ce mois, le 4 octobre. Il s’appelait François. Il n’était pas satisfait de la vie qu’il menait. Il a rencontré Jésus. Il a été saisi par Lui. Il s’est ouvert pour toujours à la joie de croire en Lui et de le suivre. Initié au mystère du Christ, il a lutté pour que la fraternité chrétienne soit visible dans l’Église et, par l’Église, dans le monde.
Que la fraternité chrétienne soit visible et sensible dans l’Église et dans le monde ! Pour nous tous, catholiques en Charente et ailleurs, voilà notre désir et voilà notre engagement commun !
Cette lettre vous dira que je reste proche de vous tous dans cet engagement durable ! Avec ma confiance et mon amitié !"
Ci-dessous quelques images
du rassemblement diocésain
du 16 octobre : "AUDACE !"
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