samedi 3 décembre 2011

Odile, première "laïque associée" à la fraternité



Des personnes associées à la fraternité trinitaire d’Angoulême :
En 1193, Saint Jean de Matha a reçu un appel à glorifier la Trinité et à libérer les captifs.
Dans le cadre de la famille trinitaire, une petite fraternité a vu le jour en septembre 2010 à Angoulême. Elle est composée d’un prêtre trinitaire, d’une communauté de religieuses trinitaires de Valence et de laïcs, qui à l’appel de l’Evêque d'Angoulême, veulent vivre à l’Eglise Saint Martial une présence priante et aimante.
Des laïcs, des prêtres souhaitent être associés à la fraternité trinitaire d’Angoulême sans en être membre.
Il leur est proposé d’être en communion avec la fraternité par des temps de vivre ensemble (temps de vie liturgique, partage d’activités, partage de repas, séjour à Angoulême,etc….).
Ce vivre ensemble ayant pour cœur une vie de contemplation simple et aimante de la Trinité. Cette contemplation de Dieu Trinité nous guérit et nous libère.
Elle nous invite aussi à être des témoins de l’œuvre de libération que Dieu désire opérer partout où nous vivons (vie familiale, professionnelle, réseau social).
Les membres de la fraternité trinitaire d’Angoulême et ceux qui y sont associés se portent mutuellement dans la louange et l’intercession.
Dans la mesure du possible, les personnes associées auront à cœur de participer à l’une ou l’autre célébration importante aux cours de l’année :
- Fête de la Trinité (en juin)
- Fête de Notre Dame du bon remède (8 octobre)
- Fête de Jésus Rédempteur (23 octobre)
- Saint Félix de Valois (4 novembre)
- Saint Jean de Matha (8 février)
Le chemin qui aboutit à devenir une personne associée à la fraternité trinitaire d’Angoulême se fait en lien avec le conseil de la dite fraternité.
« …..Ils rompaient le pain à domicile prenant leur nourriture dans l’allégresse et la simplicité de cœur.
Ils louaient Dieu et trouvaient un accueil favorable auprès du peuple tout entier.
Et le Seigneur adjoignait chaque jour à la communauté ceux qui trouvaient le salut……. »
Acte 2, 46-47